Je décidais de me rendre directement à l'hôpital en sortant du bureau de Kasisha-sama. En arrivant à l'hopital, j'entrais et me présentais à l'accueil, ou je vis une jeune femme qui s'occupait de dossiers quelconques. Elle était assise derrière un bureau assez grand, sur lequel s'entassaient des documents de manière assez désordonnée. Derrière elle, il y avait une armoire, plusieurs blocs de tiroirs en métal, et une porte. Je m'approchais d'elle, mais elle ne sembla pas remarquer ma présence. Je lui dis :
« Excusez-moi de vous déranger, mademoiselle. »
La secrétaire leva les yeux, surprise.
- Bonjour monsieur, que puis-je faire pour vous ?
- Bonjour, je me présente : je m'appelle Chikito Muraki, et je suis chargé d'enquêter sur des morts suspectes qui ont eu lieu dans cet hôpital.
- Ah, c'est vous. J'appelle le chef de médecine, il vous expliquera la situation. Patientez quelques instants je vous prie.
- Je vous remercie, mademoiselle.
La secrétaire se leva, et s'en alla par la porte qu'il y avait derrière elle. Elle ressorti quelques secondes plus tard avec un autre homme qui me salua du chef. Je lui rendis son salut de la même manière, et il parti en courant par des escaliers qui se trouvaient à droite de l'accueil. Il revint quelques minutes plus tard, accompagné d'un homme qui devait être proche de la soixantaine. Je me dis qu'il devait être le chef de médecine, et je lui dis en m'inclinant :
- Bonjour, monsieur, je suis Chikito Muraki, Bras droit de Kasisha-sama.
- Oui, j'ai entendu parlé de vous. Vous me paraissez bien jeune pour être le Bras doit de la Mizukage, mais bon, Kasisha-sama doit savoir ce qu'elle fait... Je suis Jiroko Tomuraku, chef de médecine de cet hôpital. Suivez-moi, je vais vous expliquer la situation.
Il descendis les escalier, et je m'empressais de le suivre. Nous descendîmes au second sous-sol, et pénétrâmes dans un couloir dont le sol était carrelé de blanc, les murs peint en blanc, et qui était éclairé par des néons blanc. Le tout donnait une ambiance oppressante. Je plaignais ceux qui travaillaient ici, et j'avais hâte de finir cette mission, afin de pouvoir quitter ce lieux déprimant et me retrouver à l'air libre. Nous parcourûmes une bonne quinzaine de mètres dans le couloir, puis le chef de médecine s'arrêta, sortit un trousseau de clés de la poche de sa blouse, et ouvrit la porte qui se trouvait à notre gauche.
en cours...